Un tout grand merci à Livraddict et aux Editions J'ai Lu de m'avoir permis de participer à ce partenariat!

Quatrième de couverture:

Comment devenir libre quand tout vous destine à la soumission ? Comment rester debout face aux hommes et à Dieu ? 
Vers qui se tourner quand on vit dans la misère ? À qui parler lorsqu'on est perdu et rejeté par la société ? Jbara, petite bergère des montagnes du Maghreb, choisit Allah. Dans un monde qui ne voulait pas d'elle, Il deviendra son unique confident. C'est à Lui que s'adresse ce monologue fiévreux et enragé, où l'humour perce souvent, celui d'une jeune fille qui tente d'échapper à l'enfermement. 

Mon avis:

Ce résumé prometteur m'a poussé à m'inscrire pour ce partenariat et j'ai été heureuse d'apprendre que j'étais sélectionnée. Ma première surprise lorsque j'ai reçu le livre a été le petit nombre de pages... seulement 127!

Lorsque j'ai commencé ma lecture, j'ai d'emblée été dérangée par le style et le vocabulaire: bien trop vulgaire, bien trop cru... à mon gout et particulièrement dans ce genre de lecture, liée à la religion. Bien qu'ayant terminé cette lecture, j'avoue que ce mode d'expression m'a plusieurs fois donné envie d'abandonner... Je n'en vois pas l'utilité et à mon sens, il gache le message que l'auteure veut faire passer.

Car je suis convaincue que le message de l'émancipation de Jbara que veut nous faire passer Saphia Azzeddine est un message puissant et prenant, mais je pense que le ton choisi n'est peut etre pas le plus judicieux. J'avoue que je suis du coup un peu restée sur ma faim d'en apprendre plus sur Jbara et sa "relation" avec Allah.

La fin me parait également un peu "too much", on a l'impression que toutes les jeunes femmes musulmanes risquent de mal tourner...

En résumé, le message véhiculé par ces confidences m'a touchée mais la façon de le faire passer m'a dérangée...